les SiMS ...
Reporters sans frontières crée un Bulletin de la répression traitant des atteintes à la liberté d'expression sur le Net en Chine. Ce bulletin est envoyé, chaque mois, à quatorze chefs d'entreprises travaillant avec ce pays dans le secteur de l'Internet. L'organisation demande à ces dirigeants européens, nord américains, japonais ou sud-coréens, d'intervenir auprès du gouvernement chinois pour que celui-ci abandonne sa censure du Réseau et libère les cyberdissidents emprisonnés.
- "Fé gaf, SMS surveillés" (juillet 2004)
Le gouvernement chinois s'équipe d'un nouveau système de surveillance des SMS L'entreprise chinoise Venus info Tech Ltd a annoncé, le 11 juin 2004, qu'elle avait reçu l'autorisation du ministère de la Sécurité publique de commercialiser son système de surveillance en temps réel des SMS (messages écrits envoyés par un téléphone mobile). Cette nouvelle technologie permettrait aux autorités de filtrer les messages en fonction de mots-clefs et de repérer les émetteurs de textos "réactionnaires". Lire la suite :
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- Clôture de l'Année de la Chine en France (juillet 2004)
Pendant les festivités, la répression a continué contre les internautes. Aux cours des seuls mois d'octobre et de novembre 2003, au moment où s'ouvraient les festivités, le gouvernement de Pékin a fait condamner à des peines de prison pas moins de 13 internautes et cyberdissidents. Lire la suite :
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- Google vs Yahoo : une guerre commerciale qui menace la liberté d'expression. (juillet 2004)
Yahoo ! censure depuis des années son moteur de recherche en chinois pour se plier aux desiderata de Pékin. Google, qui vient de prendre une participation dans Baidu, un moteur de recherche chinois qui filtre ses résultats, semble aujourd'hui emboîter le pas à son concurrent. Pour conquérir le marché chinois, ces deux entreprises acceptent des compromis qui ont des répercussions directes sur la liberté d'expression. Lire la suite :
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61 personnes sont actuellement en prison en Chine pour avoir créé un site Internet d'informations indépendant ou publié sur le Réseau un texte critique envers le pouvoir
Liste des P.-D.G. auxquels est envoyé le Bulletin de la répression
Steven A.Ballmer,P.-D.G. de Microsoft Corporation. (copie à William H.Gates, fondateur de Microsoft).
John Chambers,P.-D.G. de Cisco Systems.
Craig R.Barrett,P.-D.G. d'Intel.
Charles Dehelly,P.-D.G. de Thomson.
Frank Dunn,P.-D.G. de Nortel Networks.
Carleton S. Fiorina,P.-D.G. de Hewlett-Packard Company.
M. Guerrino De Luca,P.-D.G. de Logitech. (copie à Daniel Borel, fondateur de Logitech)
Lawrence J.Ellison,P.-D.G. d'Oracle.
Hajime Sasaki,président du conseil de NEC.
Kun-Hee Lee,P.-D.G. de Samsung.
Scott G.McNelly,P.-D.G. de Sun Microsystems.
Samuel J.Palmisano,P.-D.G. d'IBM.
Terry Semel,P.-D.G. de Yahoo !. (copie à Jerry Yang, fondateur de Yahoo !)
Serge Tchuruk,P.-D.G. d'Alcatel.
comme sur le net mais en vraux, heu... en fais ... enfin comme sur le net ....
family spirit
... Une soirée télé
Ce que la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe (CEE-ONU) fait pour vous!
Chez les Smith, le journal télévisé est un moment sacré. Tout le monde doit le regarder, cela fait partie du système éducatif de la famille. A la fin, chacun commente les nouvelles à sa façon. Ce soir, une grande partie des informations a été consacrée à l’anniversaire de la chute du mur de Berlin et à l’évolution de la situation économique dans les pays de l’Europe de l’Est.
- ...
- Il faut du temps!, enchaîne Madame Smith. La situation économique dans ces pays ne peut pas changer du jour au lendemain.
- Et puis, poursuit Mary, passer d’un régime à économie dirigée où tout est planifié à un système de marché où il faut se débrouiller tout seul, ce n’est pas simple. C’est une période de transition et qui dit transition dit difficultés.
- En plus, pour beaucoup, ce sont de nouveaux pays, reprend Madame Smith. Les choses devraient aller en s’améliorant, j’en suis certaine. D’ailleurs, il faut les aider!
- Oui, mais, coupe Monsieur Smith, ce n’est pas aussi facile que ça. Dans certains pays, tout est tellement désorganisé. Il y a même des cas où il n’y a pas de comptes nationaux. Personne ne sait plus ce qui se produit ou s’échange.
- Et c’est grave?, demande le petit John, inquiet.
- C’est toujours grave de ne pas savoir où l’on en est. C’est un peu comme si je ne savais pas ce qui rentre sur mon compte en banque et ce qui en sort. Je serais incapable de savoir si nous pourrons partir en vacances cette année.
ah les jolie collonies de vacances ... la li la li la li la la ...
MARSEILLE, 12 sept 2004 (AFP)
Grève à la SNCM: trafic toujours paralysé, aucun signe d'amélioration
Le trafic de la SNCM entre la Corse et le continent était toujours "paralysé" dimanche, le syndicat des travailleurs corses (STC) continuant de bloquer depuis maintenant 9 jours la quasi-totalité des bateaux de la compagnie, a-t-on appris auprès de la direction de la SNCM. "La situation reste inchangée par rapport à hier (samedi, ndlr). Nous avons toujours 7 bateaux bloqués sur l'île, et à cette heure, nous n'avons aucune information sur une éventuelle évolution positive", a indiqué la direction de la SNCM. Le préfet de Corse Pierre-René Lemas, saisi vendredi par la justice, avait prévenu samedi qu'il était "prêt à recourir à la force publique" pour débloquer les navires "retenus illégalement à quai" dans les ports de Bastia, Ajaccio, Porto-Vecchio et Propriano par des grévistes. A l'issue d'une réunion samedi à Paris avec des représentants des ministères des Finances et des Transports en présence du PDG de la SNCM, Bruno Vergobbi, la plupart des autres syndicats de la SNCMet SNPOMM) qui avaient déposé vendredi un préavis de grève de 72 heures à partir de jeudi prochain, avaient estimé que l'Etat avait apporté des "éléments d'apaisement". "La décision de lever ou non le préavis de grève au vu de ces nouveaux éléments sera débattue à partir de lundi en assemblée générale avec le personnel", avait indiqué Jean-Paul Israël, de la CGT, majoritaire à la Société nationale maritime Corse méditerranée (SNCM). "Nous, nous n'attendons rien de la réunion de lundi. Notre position ne nous pose aucun problème par rapport aux autres organisations syndicales", a assuré à l'AFP Alain Mosconi, responsable du STC-marins. "Il faut apporter une solution sociale, et dans les faits rien n'a changé", a estimé M. Mosconi. "Il y a à peu près 15% de grévistes sur l'ensemble des salariés, (...) mais cela suffit pour paralyser la flotte", a-t-il dit. Aucune réunion entre la direction de la SNCM et le STC n'est prévue "pour l'instant", a-t-il précisé.